Interview - Autorennsport CH

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Interview

Nico Müller
Pilote
DTM, GT
22/12/2014

Nico, quel est votre bilan personnel à l’issue de cette première saison en DTM ?
Nico Müller :
« En termes de résultat “pur”, ce fut une saison difficile. Que ce soit l’équipe ou moi même, nous avons prouvés que nous étions performants. À de nombreuses reprises, nous étions en lutte pour marquer des points, mais une stratégie malchance ou des faits de course divers ont souvent compromis nos résultats. Mais, le plus important pour moi, c’est d’avoir prouvé que je pouvais me battre pour les premières places. De plus, je me sens vraiment très bien au sein de la famille Audi et j’ai pris énormément de plaisir chaque week-end de course. »


Outre le DTM, vous avez également pris part à des courses d’endurance. Au 24h du Nürburgring, vous avez été contraint à l’abandon sur un problème mécanique. Néanmoins, vous avez réalisé de belles performances, pouvez-vous nous en dire plus ?
Nico Müller :
« Ce fut une expérience incroyable d’être au départ des 24h du Nürburgring. Et, faire mes débuts sur la Nordschleife dans une Audi R8 LMS au sein d’une équipe comme WRT a rendu l’événement encore plus spécial. Ce fut un très grand défi, mais, en dépit de l’abandon, ce fut une course positive pour moi car j’ai réussi le meilleur chrono en course d’une Audi R8 LMS et le troisième de l’épreuve. »

D’autre part, vous avez participé au Blancpain 1000 avec Rahel Frey et Didier Cuche. Que retenez-vous de cette expérience ?
Nico Müller :
« Faire partie d’une équipe Audi 100 % Suisse fut un grand moment, d’autant plus que Rahel et Didier sont deux personnalités pour qui j’ai beaucoup d’admiration. Nous avons eu un bon week-end, et nous avons poussé fort afin d’obtenir un bon résultat, mais tout ne s’est pas passé comme prévu. Ce fut un projet très intéressant, et Didier a fait d’énorme progrès... et qui sait, peut-être que cette expérience se renouvellera ? »


Vous venez d’être confirmé par Audi pour la saison 2015 de DTM. Quel sera votre objetcif en 2015 ? Et, est il possible de vous voir de nouveau en Endurance ?
Nico Müller :
« Tout d’abord, je suis très reconnaissant et heureux de rester au sein du giron Audi en 2015  pour le DTM. Je veux continuer sur tout ce qui a été entrepris en 2014, monter sur le podium et finir dans le top 10 du championnat.
En ce qui concerne l’endurance, rien n’est encore décidé, mais si une nouvelle occasion se présente, alors je sauterais sur l’occasion... et passer le drapeau à damier. »


La saison 2014 est désormais terminée, et 2015 arrive à grands pas. Comment allez-vous préparer cette saison ?
Nico Müller :
« Bien entendu, nous allons essayer d’optimiser la saison hivernale pour avoir la meilleure préparation mentale et physique possible. Et, à côté des différents événements marketing, j’espère pouvoir passer du temps avec ma famille et mes amis, ce qui est difficile lorsque la saison est lancée. »

Edoardo Mortara
Pilote
DTM, GT
09.11.2014

Le week-end prochain, Edoardo Mortara retrouvera les rues de Macau, lors du traditionnel Grand Prix de la cité Asiatique. Et avant de faire le long voyage vers ce circuit si caractéristique, Edoardo Mortara s'est prêté au jeu des questions réponses.

Après vos deux victoires (2009 et 2010) en Formule 3 et vos trois victoires (entre 2011 et 2013) de la GT Cup, vous êtes en lice pour une sixième victoire consécutive. Quels seront vos principaux concurrents ?

Edoardo Mortara :
« Ils seront nombreux. Dans la GT Cup, deux pilotes actuels en DTM, Marco Wittman et Augusto Farfus, ainsi que deux anciens de la série, Maro Engel et Renger van der Zande, seront au départ de l'épreuve. Ils seront ainsi de sérieux adversaires tout comme Laurens Vanthoor qui sera mon coéquipier au sein de l'Audi Race Experience. Mais nous aurons peut-être quelques surprises. Après tout, les pilotes présents représenteront onze constructeurs différents et il est donc difficile d'évaluer les forces de chacun. »


Est-ce une chance ou est-ce difficile d'avoir un coéquipier d'un très haut niveau ?
Edoardo Mortara :
« Ce n'est pas la première fois que me retrouve au sein de la même équipe que Laurens. Ainsi nous étions ensemble au sein du Team Signature Volkswagen en 2010 en Formule 3 Euro Series. Avoir un bon coéquipier est un avantage. Laurens est très talentueux et il a énormément progressé ces dernières années. Je pense qu'il sera mon plus sérieux adversaire à Macao. »

Pouvez-vous encore progresser sur le circuit de Macao après tant de succès ?
Edoardo Mortara :
« J'ai acquis énormément d'expérience sur ce circuit les années passées. Évidemment, j'ai un avantage sur les débutants. Mais vous ne pouvez jamais être à 100 %. Je travaille pour avoir la meilleure trajectoire possible. Par exemple, je regarde les vidéos de course à Macao afin de visualiser le circuit. »

Avez-vous une stratégie pour définir votre set-up sur le tracé de Macao ?
Edoardo Mortara :
« La piste de Macao est si spécifique qu'il vous est impossible de partir sur un set-up précis que ce soit en vitesse de pointe ou en charge aérodynamique. Ainsi, vous devez être prêt à tous tester. »


Citations : Audi Sport

Rahel Frey
Pilote
Endurance
03.11.2014

À l’issue d’un week-end où elle est montée, une nouvelle fois, sur le podium, la Soleuroise Rahel Frey a répondu à une mini-interview :

Vous avez connu un week-end agité en Audi R8 LMS Cup à Shanghai. Dans la première course, vous étiez contrainte à l’abandon sans aucune faute de votre part, et dans la deuxième course, vous avez effectué une grosse remontée pour terminer en haut du classement.
Rahel Frey :
« Il est vrai que j’ai connu des hauts et des bas. Je suis partie de la sixième place sur la grille quand un adversaire est venu me percuter et m’a contrainte à l’abandon. Le diffuseur arrière ainsi que d’autres pièces étaient endommagées. C’était inutile de continuer. Dans la deuxième, je n’avais rien à perdre donc j’ai choisi un set-up agressif, et je suis partie de la douzième place et j’ai effectué une remontée. Dans les derniers tours, je me suis battue pour la victoire avec Alex Yoong, et ce fut passionnant. Mais je ne pensais pas que Marchy Lee avait encore des push-to-pass en fin de course. Et, en conséquence, il m’a dépassée. Mais la course restera comme l’un de mes grands moments cette saison. »

Avec la troisième place au classement, vous êtes l’un des quatre pilotes à pouvoir remporter le titre lors de la finale. Quelles sont les chances que vous vous donnez ?
Rahel Frey :
« J’ai un déficit de 35 points sur le leader, ce qui signifie que mes chances sont plus mathématiques que réalistes. Cette saison, marquer des points en haut du classement n’est pas suffisant, il faut également gagner. J’ai terminé trois fois à la deuxième place cette année, ce qui rapporte 18 points, mais une victoire donne 25 points, ce qui fait une réelle différence et être régulier ne suffit pas. Mais bien entendu, je ne vais rien lâcher lors de la finale. »

Outre l’Audi R8 LMS Cup, vous avez participé à de nombreuses autres épreuves avec Audi cette année. Quels sont vos meilleurs moments ?
Rahel Frey : « J’ai participé à l’ADAC GT Masters avec le Yaco Racing et Philip Geipel. Nous avons fait de beaux progrès avec l’équipe. À Zandvoort, nous avons fait une course solide sous la pluie et la qualification au Slovakiaring fut réussie. Lors de la course à domicile de l’équipe, au Sachsenring, Markus Winkelhock (et qui remplaçait Rahel à cette occasion) et Philip Geipel ont terminé quatrième et cinquième. Pour moi, les 24 Heures du Nürburgring au sein du Audi Race Experience fut également un grand moment. Et de plus, j’ai participé au Blancpain 1000 sur le Nürburgring où je partageais le volant avec Nico Müller et l’ancien skieur Didier Cuche. Didier est un sportif dans l’âme et une grande personnalité. J’ai vécu une très belle saison avec Audi jusqu’à présent, et j’ai déjà hâte d’être à la finale de l’Audi R8 LMS Cup à Abu Dhabi les 12 et 13 décembre. Cette piste sera nouvelle pour presque tous les pilotes de la coupe. »

Noah Stutz
Pilote
Dragster Top Fuel
07.08.2014

Quelle conclusion tirez vous de vos deux premières épreuves en Angleterre et en Finlande ?
« Je suis satisfait de ces deux premières courses. Nous sommes en progression et en Finlande, nous avons réussi à mettre fin aux explosions de moteurs ce qui est réjouissant. »

Lors des deux épreuves, tu es parvenu à te qualifier pour la phase finale, quelles sont tes conclusions de ces deux épreuves ?
« J’ai pu faire mes premières expériences d’une finale. Malheureusement, je n’ai pas été capable de passer un autre tour. Mais nous sommes en bonne voie. Je me suis retrouvé, directement, contre le champion d’Europe ce qui rendait les choses difficiles bien que j’avais réalisé les troisième et quatrième chrono lors du premier tour. Mais l’équipe et moi même sommes super motivé pour le prochain rendez-vous. »


Maintenant, la prochaine manche sera l’épreuve la plus prestigieuse de la saison sur le circuit d’Hockenheim (Nitrolympx le week-end prochain). Ce sera presque une course à domicile, quelles sont vos attentes ?
« J’ai vraiment hâte d’être à cet événement. Beaucoup de sponsors, supporters et amis seront là pour me soutenir. Mais surtout, mon frère sera également présent. Et je suis aussi impatient de courir le samedi soir. Ce sera un grand spectacle et je suis impatient de  me précipiter à 500km/h dans les ténèbres. »

Comme préparez vous cette course “à domicile” ?
« Je peux déjà ressentir la pression, car c’est une course à domicile ce qui me motive encore plus. Je suis vraiment impatient, mais je ne dois pas me précipiter et me préparer jour après jour, en particulier sur mon temps de réaction. Je serais prêt et concentré sur ce week-end de course. »

Que pouvons nous attendre de vous et de votre équipe à Hockenheim ?
« C’est une question difficile, car nous donnons toujours le meilleur de nous même. Je pense que nous nous qualifierons de nouveaux en phase finale, et j’espère pouvoir porter un toast avec mes fans, pour avoir réussi à passer le premier tour dans cette phase. Nous feron de notre mieux et si tout fonctionne bien alors tout est possible. »

Marcel Fässler
Pilote
Endurance
08.07.2014

La semaine passée, Marcel Fässler et ses coéquipiers Benoît Tréluyer et Andre Lotterer visitait les sites d'Audi à Ingolstadt et Neckarsulm. A cette occasion, il est revenu sur sa victoire en juin dernier au Mans

Vous avez tous les trois célébré votre victoire au terme d'une course très disputée. Quelle note donneriez-vous à ce succès trois semaines après ?
« En début de course, la victoire semblait presque irréaliste pour nous tant le niveau était élevé avec Toyota et Porsche. De plus, nous avions aussi deux autres voitures très rapide dans notre équipe. Et gagner dans ces conditions offre des sentiments incroyables. Chaque année, le défi est différent, et chaque course au Mans a quelque chose de spécial. La victoire est tellement bonne et, pour être honnête, on devient vite accroc au succès. »


Aucun des trois constructeurs n'a réalisé une course parfaite.
« Il y a des hauts et des bas en course, mais cette fois ce fut poussé à l’extrême. Toyota était en tête depuis longtemps, mais ils ont eu une panne ne piste qu'ils ne pouvaient pas réparer. Soudain, nous étions en tête avec trois tours d'avance. Puis nous avons connu une panne de turbo et nous sommes tombés à la troisième place avec deux tours de retard. J'étais sûr que tout étais perdu, et donc la joie d'avoir gagné était encore plus grande. »

Mercredi dernier, vous avez visité l'usine Audi à Ingolstadt et jeudi le site de Neckarsulm. Quel fut le message des employés ?
« INous avons reçu un accueil très enthousiaste. Non seulement nous avons rencontré un grand nombre d'employés de divers secteurs de l'entreprise, mais également beaucoup de personnes d'Audi Sport qui conçoivent les voitures de course mais qui ne nous accompagnent pas sur les circuits. C'est un honneur pour nous que tout ce monde soit si fier de cette victoire au Mans. Nous pouvions sentir à quel point la famille Audi nous soutient. Lors de la réunion de travail nous avons même reçu une salve d'applaudissements. Chez Audi, il existe des liens particulièrement étroits entre la course et l'entreprise. Je suis heureux d'avoir rejoint ce constructeur en 2010. Notre prochaine course de 24 heures avec Audi sera fin juillet, c'est là que nous allons nous battre pour la victoire avec la R8 LMS Ultra à Spa. »

Source Audi Sport

Nico Müller
Pilote
DTM
27.05.2014

Quel est votre bilan personnel après les deux premières courses du DTM ?
Il est positif. Mon objectif était d’apprendre, apprendre et apprendre lors des premières courses, et c’est ce que j’ai fait. Lors de la première épreuve de la saison à Hockenheim, j’ai fait quelques petites erreurs ici et là, mais à Oschersleben ce ne fut pas le cas même si les conditions furent nettement plus difficiles en raisons de la météo changeante. Je me sens de mieux en mieux dans l’Audi et je suis persuadé que les résultats s’en ressentiront lors des prochaines courses.

Venant de la monoplace, comment vous sentez vous au sein d’un peloton de pilote expérimenté en DTM ?
C’est très captivant. D’autant que dans les courses de tourisme, vous pouvez vous battre portière contre portière sans avoir la crainte que les roues s’accrochent. En piste, vous n’avez aucun temps de pause, la bataille se joue sur chaque centimètre et chaque centième de seconde. Vous tenir votre place, vous devez ne laisser aucun espace. Et c’est une autre chose que j’arrive assez bien à faire même si j’ai encore à apprendre de pilote chevronnés comme mon coéquipier Jamie Green.


Le prochain rendez-vous du DTM sera sur le circuit de Budapest, une piste que vous connaissez bien.
J’ai remporté plusieurs courses de monoplaces là-bas, mais je ne pense pas que cela m’apportera un grand avantage sur les autres pilotes du DTM, parce que les deux types de voitures sont très différents. Mais, contrairement à Hockenheim et Oschersleben, les autres pilotes n’ont roulés en DTM que lors des tests ITR d’avril. En conséquence, je suis sur un pied d’égalité avec mes adversaires pour la première fois. Et sur ce point, Budapest sera très intéressant pour moi.

Lors des essais sur le circuit de Budapest, vous avez réalisé le deuxième chrono. La piste semble vous convenir ?
C’est vrai que j’aime bien ce circuit. Avec ses nombreux virages, il est très difficile en pilotage. Mais les bons résultats lors des tests ne doivent pas êtres surestimés. Une bonne place en qualification et en course sont les plus importants, et c’est ce à quoi je me concentre aujourd’hui. Mais Budapest est aussi cool par son ambiance. Les Hongrois aiment le sport automobile et je suis persuadé que les tribunes seront bien remplies. Et, à la vue des deux premières courses, je suis sûr que les fans assisteront à un grand spectacle.

Source Audi Sport

Benoït Morand
Team Manager
Endurance
24.05.2014

Après les deux premières manches European Le Mans Series (ELMS) à Silverstone et Imola, NewBlood by Morand Racing se prépare pour la Journée Test (1er juin) de la 82e édition des 24 Heures du Mans, le grand rendez-vous de l’année de l’endurance.

La Morgan-Judd BMW n°43 chaussée de pneus Dunlop de NewBlood by Morand Racing s’est régulièrement battue en tête en ELMS, avec la troisième place en Grande-Bretagne et un solide leadership en Italie. Cette année, Benoît Morand et son team rejoignent les 24 Heures du Mans avec un équipage entièrement renouvelé. Christian Klien (Autriche, né en 1983) va renouer le fil de son histoire mancelle (trois participations en 2008, 2009 et 2011), Romain Brandela (France, né en 1973) disputera les 24 Heures pour la deuxième fois et Gary Hirsch (Suisse, né en 1989) sera l’un des rookies de cette édition 2014.


Rétrospectivement, quel regard portez-vous sur les deux premières courses ELMS de Silverstone et Imola avant de rejoindre la Sarthe pour les 24 Heures du Mans ?
Benoît Morand :
Nous sommes là au niveau performance, malgré encore un manque de vitesse en qualification, et en course nous avons été dans le rythme aussi bien à Silverstone qu’à Imola pour nous battre aux avant-postes.  Je pense que rien n’est perdu en ce qui concerne la saison European Le Mans Series, mais il est certain que nous n’avons plus de joker. Pour les 24 Heures du Mans, je pense que nous serons performants. C’est à nous de mettre toutes les pièces du puzzle en place pour réussir une belle course, en espérant que « Dame chance » soit dans notre camp.
 
Votre nouveau trio de pilotes a rapidement trouvé son rythme et son homogénéité. Comment les choses se passent-elles ?
De ce côté-là les choses se passent très bien. Chacun tient son rôle, et pour Le Mans j’ai pleine confiance en Christian, Gary et Romain.
 
Après la cinquième place en catégorie LM P2 l’an dernier pour la première participation de l’équipe, qu’attendez-vous de ces 24 Heures du Mans 2014 ?
Nous espérons faire mieux qu’en 2013, mais tellement de facteurs rentrent en compte pour ce qui à mon sens reste la course la plus difficile au monde. Nous allons tout faire pour préparer notre voiture et nos pilotes au mieux, mais tout gérer est impossible. Je suis confiant pour faire un bon résultat et viser le podium.

Source : NewBlood by Morand Racing

Matheo Tuscher
Pilote
GP3
11.05.2014

Félicitations, votre premier podium dans votre premier week-end en GP3, comment s'est passé la course pour vous ?
« Terminer deuxième lors de mon premier week-end après un an sans courir, je suis vraiment très heureux de cette performance J'espérais être dans le top 8 car j'avais terminé quatrième et cinquième des seuls test auquel j'ai participé en GP3. Je suis donc content d'avoir pris la huitième place hier et la deuxième aujourd'hui. Ceci est fait, maintenant place à la course suivante. »

Comment était l’adhérence de la piste en début de course après l'averse, et avez vous envisagé de chausser les pneus pluies ?
« Quand je suis sorti des stands, j'ai réfléchi au choix de pneu car la piste était très humide et glissante. Ce fut très difficile d'avoir de l’adhérence en début de course. Mais je pense que nous avons fait le bon choix, car il aurait été difficile de faire toute la course avec les pneus pluies. En début de course, j'étais sur un rythme sage afin d'analyser les zones sèches et humides sur la piste et où se trouvait l’adhérence. Dans le virage 4, j'ai vu une portion brillante et j'ai cru que c'était humide, et je me suis donc décalé. Stoneman a vu mon mouvement et a sauté sur l'occasion en me passant par l'intérieur. Et le tour suivant, j'ai été sur cette zone brillante, et c'était sec..... c'est un peu frustrant ! (rire). »


Pensez-vous que vous pouviez repasser Stoneman dans les derniers tours ?
« J'étais bien au freinage et très proche dans le virage 10, et je savais que je pouvais tenter quelque chose. Mais je savais aussi que la manœuvre serait difficile et comme c'était mon premier week-end de course, je voulais finir et assurer ma deuxième place, qui est un bon résultat pour mon premier week-end de course. »

Comment vous sentez vous au volant d'une GP3 ? Prenez-vous du plaisir à la piloter ?
« Oui, la voiture est belle et j'ai un bon feeling avec. Je dois maintenant travailler la gestion des pneus. Personne ne sait exactement leur évolution et c'est difficile d'avoir un bon feeling avec, et j'ai donc besoin de travailler sur ce sujet avant l'Autriche. »

Source GP3 Series

Nico Müller
Pilote
DTM
07.04.2014

Pour vos débuts en DTM au sein de l’Audi Sport Team Rosberg, vous avez marqué les esprits : de tous les pilotes Audi, c’est vous qui avez accompli le plus de tours, vous avez réalisé le meilleur tour le mardi et le deuxième tour le plus rapide de tous les essais. Quel bilan tirez-vous ?
« Très positif. Dès les premiers tours de roue je me suis senti très à l’aise dans l’Audi RS5 DTM. C’était important pour moi, car je suis confronté à beaucoup de nouvelles choses. En général, les tests se sont très bien passé pour Audi, et nous avons bien travaillés en fonction de notre programme. Nous devons maintenant tout mettre en œuvre ce que nous avons appris lors de la saison. »

Vous avez piloté sur deux jours consécutifs (mardi et mercredi) et avez accompli un total de 277 tours. Est-ce difficile ?
« Le circuit de l’Hungaroring est très difficile physiquement, car vous allez d’un virage à l’autre sans avoir de pause avec une ligne droite. C’est aussi une piste exigeante mentalement parce que votre concentration doit être au maximum sur l’ensemble du tour. C’était éprouvant mais c’est bon. »

C’était votre premier test au sein de l’Audi Sport Team Rosberg et avec votre coéquipier Jamie Green. Comment avez vous été accueilli par l’équipe et vos coéquipiers ?
« Très bien. Je ne me suis pas seulement senti chez moi dans la voiture, mais aussi au sein du team. La collaboration avec l’ingénieur et l’équipe fut très bonne. Ils ont fait du très bon travail et nous n’avons pas connu un seul souci technique. C’est un bon début pour réussir la saison. »

Quelle fut votre plus grosse découverte en Hongrie ?
« Il y a eu une énorme quantité d’information que j’ai appris. Et j’ai eu besoins de deux journées pour tout assimilés, il y a tellement de nouvelles choses. Il n’est pas facile de citer un point spécifique. Mais la plus grande découverte fut certainement le travail et le fonctionnement au sein de l’équipe. L’Audi Sport Team Rosberg est une équipe bien plus grande que les équipes pour lesquelles j’ai couru par le passé. Et c’était impressionnant cette découverte en direct. »


Source Audi Sport

Bart Hayden

Team manager Rebellion Racing

FIA WEC
25.03.2014

Qui a t’il de particulier dans la préparation de la saison 2014 du FIA WEC ?
Tout d’abord il y a la conception d’une voiture de course à partir d’une feuille blanche. Lorsque le nouveau règlement LMP1 a été présenté, il a été pour nous l’occasion de construire et développé notre propre voiture, alors que, jusqu’à maintenant, nous avions des voitures conçus par des constructeurs de châssis et prévu pour recevoir les différents moteurs disponibles sur le marché et qui devait donc faire des compromis sur la conception. Avec la nouvelle Rebellion R-One, ce compromis n’a pas lieu d’être et nous aurons donc une voiture bien plus optimisée.
D’autre part, il y a le nouveau partenariat avec la jeune entreprise Eat the Ball, qui est une jeune entreprise dynamique et avant-gardiste dans le domaine de l’agro-alimentaire. Et c’est aussi le dynamisme qui symbolise notre partenaire Rebellion Timepieces, qui est une jeune entreprise horlogère Suisse. Et être capable de nous lier à deux jeuens entreprises est aussi source de motivation.


Récemment, les médias se sont concentré sur le développement de la Rébellion R-One, qu’en est il aujourd’hui sur les débuts de la voiture ?
Les premiers tours de roues auront lieu dans les jours qui suivent les journées d’essais du WEC au Castellet, et nous effectueront ensuite deux jours d’essais dans le mois d’avril avant la première course. En plus du changement dé réglementation en LMP1, la Formule 1 a aussi été le cadre d’un nouveau règlement. Et les différents fournisseurs se sont retrouvés surchargés, et dès le début d’année, il s’est avéré qu’il allait être difficile d’obtenir les pièces demandées tant les équipes de Formule 1 augmentait la pression à l’approche de la saison et les fournisseurs ont été dépassés par les événements.

Depuis l’annonce au Mans l’an passé, aucune image ou visuel n’a été dévoilé. La voiture est elle si révolutionnaire que vous préférez la garder cachée ?
Lorsque les constructeurs ont débutés leurs tests, c’était avec des livrés de camouflage ou bien les photos publiés étaient floues puisque personne ne veut dévoiler ses secrets. En conséquence, il ne faut pas être surpris que la voiture soit dévoilée au dernier moment.

Désormais, trois constructeurs sont présents en WEC, et tous avec une motorisation Hybride. Quel est l’impact sur le Rebellion Racing ? L’objectif est il de se lier avec un constructeur dans le futur ?
Pour 2014 nous ne sommes pas désavantagés ! Les organisateurs souhaitent la présence de LMP1 privée et les nouveaux règlements sont rédigées afin d’augmenter les chances des privées face aux usines que par le passé. Avec un respect rigoureux de l’application du règlement, des privés comme le Rebellion Racing devraient être capable de se battre avec les usines sur le piste. Mais hors des circuits, les moyens des usines sont très conséquents et il nous est difficile de rivaliser dans ce domaine.
Être associés à un constructeur serait certainement la meilleure solution pour obtenir de bons résultats, donc oui, nous en serions très heureux. Et obtenir de bons résultats en tant que privés, pourrait nous ouvrir des portes chez un constructeur à l’avenir.


Que peuvent attendre les fans du Rebellion Racing et de la nouvelle R-One en 2014 ?
À chaque course, l’objectif du Rebellion Racing sera de monter sur le podium. Nous espérons que les fans soutiendront une équipe privée qui lutte face aux usines et nous nous efforceront de répondre à leurs attentes. La nouvelle Rebellion R-One sera très belle et le son du V8 Toyota résonnera à l’oreille telle une musique. Nous espérons que les R-one deviendront les favorites du public.



Source Rebellion Racing

Philipp Frommenwiler
Pilote
GT
21.03.2014

Pour votre première participation aux 12 heures de Sebring, vous passez proche de l'exploit en terminant quatrième de la catégorie GTD, et ce malgré une crevaison et surtout une pénalité injustifié (ndlr : les Marshalls ont confondu la Porsche de Philipp Frommenwiler avec une des Porsche officielles fautive et on infligé un stop and go de 80 secondes). Quel bilan tirez vous de cette course ?
Nous avons fait une super course ! La voiture était parfaite, l'équipe n’a commis aucune erreur et nous autres pilotes étions rapides. Tout était réunis pour l'emporter, mais malheureusement cette pénalité nous a enlevée toute nos chances.

Après les 24 heures du Nürburgring l'an passé, c'était votre deuxième course d'endurance dans votre carrière. Qu'est ce que vous appréciez le plus dans ce type de course ?
J'aime l'esprit d'équipe qui s'en dégage, et qui est indispensables pour tous les membres de l'équipe. Et lorsque cette expérience se passe au sein d'une équipe comme Alex job Racing, alors cela devient une expérience inoubliable.

Les 8 et 9 avrils prochain, ce seront les journées de présentations de l'ADAC GT Masters avant le début de saison prévu fin avril. Quel sera votre programme d'ici là ?
Je suis sur le point de débuter un second championnat. Et si, cela abouti, je disputerais des courses tout au long de l'année.

Nico Mueller
Pilote DTM
10.02.2014

Trois semaines après l’annonce, que ressentez-vous d’être devenu pilote Audi ?
Les sentiments sont plus grands de jours en jours ! Quand j’ai reçu l’appel d’Audi, les sensations furent uniques. Bien sur, j’ai travaillé très fort pour que cela arrive, mais c’est arrivé si vite. aujourd’hui, je commence à réaliser ce que cette arrivée en DTM avec Audi signifie pour moi.

Comment vos amis et connaissances ont-elles réagis ? Avez-vous reçu beaucoup d’appels et de messages ?
Je n’avais jamais connu pareille situation. J’ai remporté une course à Monaco auparavant, et j’avais déjà reçu beaucoup d’appel et d’email. Mais les réactions après l’annonce en DTM furent d’un autre niveau. Il m’a fallu plusieurs jours pour remercier toutes les personnes qui m’avaient envoyés leurs félicitations.

Avec Jamie Green, vous aurez un coéquipier expérimentés à vos cotés au sein de l’Audi Sport Team Rosberg. Avez-vous déjà été en contact avec lui ?
Oui, nous avons eu nos premières réunions au sein de l’équipe, nous nous connaissons un peu mieux et nous avons discutés sur plusieurs détails. Jamie, avec son expérience et sa personnalité, est le coéquipier idéal pour moi.

Êtes-vous nerveux lorsque vous pensez au 4 mai qui sera votre premier départ en DTM ?
Pour l’instant non, mais je pense que la nervosité va vite arriver. Pour le moment, je me concentre pleinement sur ma préparation et en particulier sur les tests d’avant saison. Nous n’avons pas eu beaucoup de temps pour nous préparer, donc en tant que débutant je dois donner le maximum à chaque tour.

Le DTM est une série internationale avec énormément d’à cotés. Qu’attendez-vous le plus ?
La course est la priorité pour moi. Le DTM est une série difficile, et est, à mon avis, le plus grand défi pour un pilote. C’est pourquoi je suis impatient de me battre contre des pilotes de très haut niveau. Mais évidemment, beaucoup d’expérience autour de la course seront nouvelles pour moi. Plus d’attention médiatique, plus de fan, plus de rendez-vous, je vais devoir apprendre de nouvelle choses, et je ne serais pas dérangé si cela devait débuter dès demain.


Source Audi Sport

Rahel Frey
Pilote GT
02.02.2014

Le week-end prochain, vous allez effectuer votre première à Bathurst avec le Phoenix Racing. Quelles sont vos attentes ?
A ce jour, je n'ai jamais été en Australie et je ne connais pas l'environnement de Bathurst. C'est très excitant et je suis vraiment impatiente de disputer ce nouveau défi. Mais ça ne sera pas une promenade. Le niveau de la concurrence est très élevé et il y a aura beaucoup de pilote locaux qui connaissent parfaitement le circuit. Cela signifie que nous devrons apprendre et nous habituer à la piste le plus rapidement possible
.

Vous connaissez le Phoenix Racing depuis longtemps, est-ce un avantage ?
Évidemment, je suis très heureuse de retrouver des connaissances du DTM en Australie. Je cours dans une équipe sympathique et qui a déjà remportée deux fois l'épreuve. De plus nous avons une équipe très forte. Laurens Vanthoor et René Rast ont eu beaucoup de succès, partout dans le monde, avec l'Audi R8 LMS Ultra. Je me sens très à l'aise dans l'Audi R8 LMS Ultra, et j'ai pu décrocher quelques succès en Audi R8 LMS Cup en Chine. Mais avec mes coéquipiers je vais certainement en apprendre un peu plus. Si je peux être dans leur rythme à Bathurst, j'aurais atteint mon objectif. Après tout, les coéquipiers sont toujours la meilleure référence.

Comment avez vous préparé le début de cette nouvelle saison ?
Ma préparation a commencée l'année passée. Grâce à un travail intensif, je me suis un peu musclée. Et le travail au sein de l'Audi Driving Experience m'a aussi permis de garder des sessions de pilotages régulières. Et, bien sur, j'ai observée beaucoup de vidéos de caméras embarquées à Bathurst et j'ai beaucoup jouée à la Playstation. Honnêtement, je me sens plus en forme que jamais et prête pour Bathurst.

Où nous verrons vous cette saison ?
Les compétitions n'ont pas encore été défini. Mais ce sera certainement dans une Audi R8 LMS, ce qui est le plus important pour moi. Je suis déjà impatiente de mes prochains défis avec Audi.


Source Audi Sport

 
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